Archives pour la catégorie Revue de presse

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“Un nombre considérable de jeunes ont tendance à voir le passé du Québec comme une page d’histoire frustrante ou embêtante, voire tragique, où il en ressort une mentalité de survivance ou de résistance face à l’adversité. Voilà une des conclusions à laquelle en arrive Jocelyn Létourneau dans une étude intitulée Je me souviens? Le passé du Québec dans la conscience de sa  jeunesse.”

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Dans un article au sujet de l’enseignement de l’histoire au Québec.

“Alain Beaulieu, professeur au Département d’histoire et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la question territoriale autochtone, n’est pas convaincu que l’enseignement de l’histoire nationale a été négligé. «Les travaux de certains historiens, comme ceux de Jocelyn Létourneau, montrent que la représentation de l’histoire du Québec intériorisée par les jeunes Québécois correspond en gros à celle de leurs parents et de leurs grands-parents, dit-il. Elle est constituée des mêmes événements traumatiques et de la même identification au nous, c’est-à-dire aux vaincus de 1760.» Quant au peu de place accordée aux événements conflictuels, le chercheur n’y voit pas nécessairement une entreprise de dénationalisation. «Une histoire associée à la formation citoyenne, ici ou ailleurs, a toujours tendance à aplanir les aspérités et les conflits du passé au nom de la promotion de valeurs consensuelles actuelles, comme le respect des différences, que doit partager tout bon citoyen.»”

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Compte rendu paru dans Bible urbaine.

Comment les jeunes perçoivent-ils le Québec? Défaitistes? Optimistes? Y a-t-il une différence entre les jeunes «anglophones» et «francophones»? L’historien et professeur à l’Université Laval Jocelyn Létourneau rend le fruit d’une dizaine d’années de recherche sur cette épineuse question, centrale dans l’histoire et la conscience collective québécoise. Publiée aux Éditions Fides, cette recherche lève le voile sur une réalité que l’on connaissait déjà, mais apporte d’importantes nuances qui ouvrent la voie pour sortir de l’impasse imaginaire collective.

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Article paru de le journal Au fil des événements, le 27 mars 2014.

[…] «En 2014, on ne peut plus enseigner l’histoire de la même façon qu’avant, affirme le chercheur. La formation en histoire à l’école secondaire doit avoir pour but de transmettre aux jeunes un savoir de base, et non d’en faire des spécialistes ou des encyclopédistes. Il y en aura toujours pour dire que les jeunes ne connaîtront jamais assez l’histoire ou ne sauront jamais ce qu’il est important de connaître à propos du passé. Or, les jeunes ne vivent pas dans le passé, mais dans le présent… »

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Publié dans Le Devoir du 26 février sous la plume de Francine Pelletier.

« Jadis, il y avait des Amérindiens, ensuite des bûcherons, maintenant des indécis. »
De toutes les phrases recueillies par l’historien Jocelyn Létourneau dans son récent ouvrage, Je me souviens ?, c’est une de mes préférées. La formule, délicieusement ironique, résume bien l’histoire du Québec : l’avant-Conquête (le pays est entre d’autres mains), l’après-Conquête (on n’en mène pas large) et le post-Révolution tranquille (on se cherche toujours).

Le prof de l’Université Laval a demandé à des jeunes, de la 4e secondaire jusqu’à l’université, de résumer en une phrase le passé du Québec. L’idée n’était pas de mesurer leurs connaissances, mais plutôt d’examiner leur « conscience historique », l’idée que se font les 16-24 ans de la « condition » québécoise. Et elle n’est pas rose, cette condition. L’ouvrage fait jaser car il dément, d’abord, la notion d’une jeunesse ignare et insouciante, mais surtout, il démontre que l’identité franco-québécoise est basée sur le manque, « c’est-à-dire l’idée selon laquelle le parcours québécois tient de l’acte inachevé, voire avorté ».

[…]

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