Comment les jeunes Québécois envisagent-ils le passé du Québec? Quel impact cette vision a-t-elle sur l’avenir? Comment prendre cette mémoire ou conscience historique en compte dans l’enseignement de l’histoire à l’école? Voilà quelques questions qui seront abordées et débattues par Jocelyn Létourneau, de l’Université Laval, ainsi que par Harold Bérubé et Sabrina Moisan, de l’Université de Sherbrooke.
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Voici l’événement Facebook pour la causerie du 26 février à l’Université de Sherbrooke, intitulée La mémoire historique des jeunes Québécois. Les participants seront Jocelyn Létourneau, Harold Bérubé et Sabrina Moisan.
L’enseignement de l’histoire est constamment l’objet de débats. Quelle histoire enseigner? Comment susciter l’intérêt des élèves pour renforcer la mémoire collective? Quelle est la culture commune de la société? Faut-il faire davantage de place aux minorités? Doit-on dépersonnaliser les événements historiques? Ce type de débat n’est pas exclusif au Québec, signale Sabrina Moisan, spécialiste de la didactique de l’histoire à la Faculté d’éducation. La chercheuse mène plusieurs projets originaux pour mieux comprendre le travail des enseignants et les mécanismes pédagogiques qui favorisent l’appropriation de cette discipline par les jeunes. Sa mission : fournir des pistes pour susciter l’enseignement d’une histoire plurielle et cohérente.